L'hôtel Ouistiti ne
répond plus. Et l'auberge Au libre Olibrius non plus. Même chose pour La
Crécelle noire. Ces revues – tout comme Nevermore, Sur le zinc, Le Mélog, Camoufflage, Tomahawk
– ont perdu leur créateur.
Jimmy Gladiator, poète,
revuiste, militant libertaire, né à Barbès en janvier 1948, qui était aussi, selon son ami Pierre
Peuchmaurd, « le fils du tabac brun et de la mer à
boire », et qui ne se reconnaissait "ni dieu ni maître sauf Maître Kanter", a tiré sa révérence le 10 avril 2019.
« Riez pour lui »,
recommandent les éditions Libertalia qui ont publié, en 2008, son
roman Éléphants de la patrie.
Ses amis lui rendent hommage. Noël Godin ici et Claude Guillon ici.
Jimmy Gladiator : Éléphants de la patrie, Libertalia.
Lire également, de Jimmy Gladiator : Les ossements dispersés, l'Embellie roturière, 1994, Les Petits Vieux de la bonne sieste, L’Esprit frappeur, 2002. D’un voyage en Palestine. Itinéraire d’Houilles à Tulkarem, Ab Irato, 2005, Tapis franc et autres cadeaux provos, Rafaël de Surtis, 2010. Blasphème autobiographique (Poèmes 1965-2010), Éditions Rafaël de Surtis, 2011, De paille et d'or ou Le Guignol des Batignolles, Éditions Rafaël de Surtis, 2014.
Jimmy Gladiator : Éléphants de la patrie, Libertalia.
Lire également, de Jimmy Gladiator : Les ossements dispersés, l'Embellie roturière, 1994, Les Petits Vieux de la bonne sieste, L’Esprit frappeur, 2002. D’un voyage en Palestine. Itinéraire d’Houilles à Tulkarem, Ab Irato, 2005, Tapis franc et autres cadeaux provos, Rafaël de Surtis, 2010. Blasphème autobiographique (Poèmes 1965-2010), Éditions Rafaël de Surtis, 2011, De paille et d'or ou Le Guignol des Batignolles, Éditions Rafaël de Surtis, 2014.